Inicio Foros ¿Cómo es la vida de un inmigrante en Canadá? Quebec La mejor provincia para llegar a Canada

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  • #241263

    Quieren que les cuente el cuento del gallo pelon????

    Les propongo temas alternativos para cuando hayan terminado de discutir éste…

    * Mac vs. PC

    * Linux vs. Windows

    * Star Wars vs. Star Trek

    * Beatles vs. Elvis

    * The people vs. Larry Flynt

    * Freddy vs. Jason

    * Alien vs. Predator

    * Playstation vs. XBOX

    Enjoy!!!!!!!

    #241264

    jajajaja

    Te faltó …

    * Caracas vs Magallanes

    * Barcelona vs Real Madrid

    El que te guste… ese es el bueno.

    #241265
    Esperando
    Miembro

    Yo tengo otros datos… que extragno?????????6

    http://www.todaysparent.com/lifeasparent/article.jsp?content=3304

    http://rankings.canadianbusiness.com/bestplacestolive/list.asp?pageID=list

    Ahhhhh… paginas anglophones hablando bien de québec….. que horrrrooorrrrr! jajajajaja

    de que pagina sensacionalista y racista sacaste tus datos dionis?????? y no….. no te voy a comprar una casa jajajajajaja…. me voy a comprar una en québec pronto……

    cada quien con lo suyo…. tu sigue convenciendo gente para ir a missisauga….. asi nos dejas québec libre de la chusma….

    Vive le Québec….

    Estoy aqui y es la mejor desicion que he tomado en mi vida! (y no neceisito engagnarme para convenncerme)

    #241266
    Esperando
    Miembro

    Y si… si son alergicos a québec sans…. tu sabes que si es asi…

    si no no existieran terminos como speak white etc…..

    muy inteligente el comentario de que el ingles es el unico idioma que sirve en el mundo blablala….

    no puedes hablar ingles y vivir en otra parte?????

    eso es como decir "me gusta porque hay edificios grandototes" como le escuche a alguien decir….. por Dios que mediocres….

    Creo que aqui nadie es anglo de nacimiento….. somos de origen latino segnores…… no anglo por mas que quieran nunca los seran…..

    Désolé, mais c’est la vie!!!!

    #241267
    Bomer
    Miembro

    Las estadísticas solo presentan una parte de la película y por eso deben ser interpretadas con cuidado. Por ejemplo, si la profesión de un forista es analista financiero, dudo mucho que Wood Buffalo, Alberta (población aproximada 100,000 habitantes) sea un buen lugar para un recién llegado con esa preparación.

    Por otro lado, Oakville (segunda en la lista) no es necesariamente el mejor lugar para establecerse para un recién llegado que sea geólogo especializado en exploración petrolera.

    Por esto recomiendo que lean las conclusiones de todos esos surveys y encuestas con mucho cuidado y no tomen sus resultados como la única verdad. Como han dicho otros foristas mas arriba, lo mejor es seleccionar el lugar que mas se adapta a su situación personal y calificaciones.

    En cuanto al reporte del Fraser Institute, les recomiendo a los foristas que viven fuera de Canadá (y a los que están aquí también) que investiguen un poco quien está detrás de este instituto y que motivaciones puede tener, pero les adelanto algo.

    El Fraser Instituto es una think tank (no sé como decirlo en español) que promueve ideas de extrema derecha como pueden concluir por los comentarios sobre la tasa de sindicalización y el régimen impositivo mencionados en el reporte citado por otro forista. No quiero decir con esto que todo lo que dice el Fraser Institute es falso pero tampoco todo lo que dicen es cierto, y como lectores potenciales y receptores de sus publicaciones tienen que estar al tanto que es una organización con una filosofía definida y que no es imparcial ni políticamente "puro"y que en todos los documentos que publica promueve esa filosofía.

    Saludos

    #241268
    wrtm_19
    Miembro

    http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201002/16/01-950057-le-cri-dalarme-des-economistes.php

    Le cri d’alarme des économistes

    Publié le 16 février 2010 à 06h35 | Mis à jour à 06h37

    Claude Picher

    La Presse

    (Montréal) Le ministre québécois des Finances, Raymond Bachand, doit préparer son premier budget dans des conditions particulièrement pénibles.

    Déjà, plusieurs économistes ont émis de sérieuses mises en garde: si rien n’est fait, le gouvernement se dirige tête baissée vers une nouvelle crise des finances publiques, probablement encore pire que celle dont le Québec a eu tant de mal à s’extirper dans les années 90.

    Dans son dernier budget, l’ex-ministre Monique Jérôme-Forget a annoncé que l’augmentation des dépenses publiques sera plafonnée à 3,2%. C’est tout un programme quand on sait que la moyenne des 10 dernières années se situe à 4,7% (la différence entre 3,2 et 4,7%, c’est plus de 900 millions!). La ministre a aussi annoncé une indexation des tarifs de tous les services gouvernementaux (à l’exception des garderies à 9000$ – car tel est, pour les contribuables, le coût de chaque place). Et pour couronner le tout, la taxe de vente sera augmentée d’un point de pourcentage au début de l’an prochain.

    Or, malgré toutes ces mesures, le Québec terminera l’année avec un déficit de 5 milliards, et rien n’indique que ce déficit se résorbera dans les années suivantes.

    Pour compliquer les choses, le Québec est déjà la société la plus taxée et le plus endettée en Amérique du Nord. Et le vieillissement de la population entraînera une baisse de la population active, de sorte que le gouvernement ne pourra plus compter sur la hausse automatique de ses revenus. Voilà, en gros, l’étendue de la catastrophe.

    Hier, le comité des politiques publiques de l’Association des économistes québécois (ASDEQ) a apporté sa contribution au débat en publiant un avis court mais percutant: «La trajectoire actuelle des revenus et des dépenses de l’État mène tout droit à un cul-de-sac, écrivent les auteurs. Il est urgent que le gouvernement ajuste son tir et augmente ses revenus et diminue ses dépenses.»

    Fondée il y a 35 ans, l’ASDEQ compte 650 membres provenant de tous les milieux et a acquis une solide crédibilité avec les années. Son comité des politiques publiques comprend 18 économistes réputés, dont Jean-Pierre Aubry, François Dupuis, Pierre Fortin, Luc Godbout, Jean-Luc Landry, Philip Merrigan, Pierre-Paul Proulx, entre autres. De très grosses pointures.

    Évidemment, pour beaucoup de contribuables surtaxés, il saute aux yeux que la première chose à faire est de s’attaquer aux dépenses gouvernementales. Facile à dire, beaucoup plus difficile à faire, rappellent les économistes. Certes, le gouvernement pourrait faire mieux, et il faut bien entendu poursuivre les efforts visant à «rechercher l’efficacité dans la dépense», mais ce ne sera pas suffisant.

    Toujours à cause du vieillissement de la population, on voit mal comment le gouvernement peut diminuer ses dépenses de santé, qui engloutissent déjà 43% de ses revenus totaux. Pour équilibrer le budget, il faudrait commencer par geler les dépenses de santé à leur niveau actuel, et on sera encore loin du compte; il faudrait, en plus, refuser toute augmentation salariale à la fonction publique pendant au moins cinq ans! C’est «clairement impossible», constatent les auteurs.

    En outre, le services de la dette, sur lequel le gouvernement n’a aucune emprise, continuera d’enfler. Québec y consacre actuellement 9% de ses revenus, et cette proportion passera à 14% dans trois ans seulement.

    Dans ces conditions, ce n’est pas dans la réduction des dépenses que se trouve la solution.

    Reste la colonne des revenus.

    Le document rejette d’emblée toute idée de hausse de l’impôt sur le revenu des particuliers. Par contre, il aborde trois autres voies:

    > La taxe de vente du Québec se situe présentement à 7,5%. Comme on vient de le voir, elle passera à 8,5% en janvier 2011. Les auteurs suggèrent, également pour janvier 2011, un point de pourcentage additionnel, soit 9,5%. Cela apportera un milliard de plus par année.

    > Les hausses de tarification annoncées par Mme Jérôme-Forget ne sont pas suffisantes. Le gouvernement devrait faire payer davantage les utilisateurs de ses services publics, et cette nouvelle tarification devrait lui rapporter un autre milliard.

    > Enfin, il est grand temps de revoir à la hausse les tarifs d’électricité, qui demeurent parmi les plus bas en Amérique du Nord. Une hausse de 1 cent du kilowatt/heure, étalée sur plusieurs années, rapporterait également 1 milliard. Malgré cette hausse, les tarifs d’électricité québécois, dans le secteur résidentiel, resteraient entre 61 et 71% des niveaux ontariens.

    Est-ce que cela fera mal? Oh oui. Mais c’est le prix à payer pour une société qui veut se doter d’un «haut niveau de services publics». Elle doit accepter le «haut niveau de taxation» qui vient avec…

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